INTRODUCTION: L’appropriation publique et la souveraineté nationale, Norbert Foulquier
PREMIERE PARTIE : LES BIENS PUBLICS FRANÇAIS SITUES A L’ETRANGER
PREMIERE SOUS-PARTIE : LES BIENS PUBLICS, INSTRUMENTS D’INFLUENCE INTERNATIONALELes manifestations patrimoniales d’une influence historique : le Domaine national en Terre Sainte,
Christian LavialleLa mise en œuvre d’une influence politique et stratégique,
François ReydelletDes biens publics mobilisés pour la réalisation d’une influence économique : les créances publiques transnationales nées des opérations d’assurance-export et d’aide publique au développement,
Philippe ColemanSECONDE SOUS-PARTIE : LES BIENS PUBLICS EXTERNES, OBJETS JURIDIQUES SINGULIERSPREMIER CHAPITRE : LE DROIT APPLICABLEL’application du droit international aux propriétés publiques,
Guillaume Le FlochL’extra-territorialité domaniale,
Ugo AssouadLa soumission des biens publics français aux droits étrangers : l’étude du Royaume-Uni,
Déborah ThébaultSECOND CHAPITRE : LES OUTILS DISPONIBLESLes clauses patrimoniales dans les contrats administratifs internationaux,
Maxence ChambonLa fiscalité des propriétés publiques à l’étranger,
Caroline Chamard-HeimSECONDE PARTIE : LES BIENS PUBLICS ETRANGERS SITUES EN FRANCE
PREMIERE SOUS-PARTIE : LA PROPRIETE PUBLIQUE ETRANGERE, LA RECHERCHE D’UN EQUILIBREL’identification de l’appropriation (publique) étrangère,
Christophe RouxL’encouragement des coopérations internationales,
Sandrine BarbierLa recherche de maîtrise des souverainetés étrangères,
Nelly SudresL’expansion du contrôle des investissements : réflexions sur les évolutions du droit international économique face aux biens publics étrangers,
Edoardo Stoppioni et Bianca NalbandianLe contrôle des investissements étrangers en France : regard de droit interne,
Pierre LevalloisSECONDE SOUS-PARTIE : LES BIENS TRANSNATIONAUX, LA POURSUITE D’UNE COOPERATION TERRITORIALELes biens publics et les souverainetés rivales,
Jean-François GiacuzzoLes ouvrages aux frontières,
Caroline FaureLes infrastructures de transport transfrontalières,
Aurélien CamusCONCLUSION Fabrice Melleray